Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des tranchée battus par les sabots des chevaux et les pas des métayers, une masculinité vivait en retrait, à l’orée des dessein. Sa famille, bâtie de pierre et de mission sombre, exhalait nettement une odeur d’herbes brûlées et de cire fondue. On l’appelait Alisandre, et malgré que son dénomination ne soit jamais prononcé à très haute voix sur la place du marché, il hantait les réparation murmurées des habitants. Alisandre possédait un libertinage que suprêmement redoutaient et que d’autres cherchaient en symbolique : celui de la voyance. Elle lisait le destin dans les cupidités de son âtre, saisissant l'opportunité de suivre les langues de bombe danser et se tordre en élaborant des images incompréhensibles pour le plupart des mortels. Lorsqu’elle s’asseyait destinées à son coeur, donnant son regard se abîmer dans l’incandescence, le microcosme se dérobait à elle, et un autre s’ouvrait, geste d’ombres mouvantes et de messages qu’elle seule pouvait déchiffrer. La rumeur de ses prédictions courait au nombre des villageois. Certains prétendaient qu’elle avait enseigné la forte famine bien avant qu’elle ne cicatrice leurs terres. D’autres juraient qu’elle avait prédit le retour du fils divin, perdu à la guerre et revenu au village aux environs de toute attente. Pourtant, individu n’osait la savoir gré ouvertement. La voyance était une acception qu’ils ne comprenaient pas, une vision de la science obscure que l’Église condamnait. Un soir d’automne, tandis que la brume s’accrochait aux branches des arbres comme par exemple une index indiscernable cherchant à les agripper, Alisandre alluma son bombe et s’installa en tailleur devant lui. Les braises rougeoyaient sous la morsure du abruptement sec, et bientôt, les desiderata s’élevèrent, projetant sur les murs de sa chaumière des obscurcissements effrayantes. Elle ferma les yeux, laissant ses chakras s’ouvrir aux voyances que la voyance lui procurait. D’abord, ce fut une lignes indistincte, avançant à travers un cercle de blé dorée. Puis, soudainement, le vent s’éleva dans sa illustration, et une langue de bombe surgit du sol, engloutissant tout sur son passage. Les épis prirent fusée en une supposé dévorante, s’étendant jusqu’au village, léchant les toits de chaume et réduisant les maisons en cendres. Elle perçut des cris, des silhouettes fuyant via les ruelles, et en plein milieu du fouillis, une ombre fixe, optant pour la destruction avec un zen foncé. La réprésentation s’estompa brusquement, et Alisandre rouvrit les yeux, le cerveau court. La voyance ne mentait jamais. Ce qu’elle avait aperçu était une mise en conserve. Le bouquet allait jaillir, et avec lui, la ruine. Elle se leva légèrement, ses participant encore engourdies par la anxiété. L’air de sa chaumière était devenu oppressant, chargé de l’odeur du achèvement consumé et du cache qu’elle venait de voir. Le village était en affliction, mais de quelle façon avertir ceux qui la redoutaient ? Le artifices était déjà en cran, indécelable, tapi dans l’ombre. Et seule la voyance pouvait en extérioriser l’arrivée.
La nuit tomba sur le village avec une pesanteur inhabituelle. Les torches des ruelles vacillaient sous un vent capricieux, projetant des obscurcissements mouvantes mitoyen de les murs de chaume. Le silence semblait plus profond qu’à l’accoutumée, à savoir si même la orbe retenait son revenant faciès à l’inévitable. Alisandre savait que l’heure était venue. La voyance lui avait tout montré : le bombe, la index qui l’allumerait, la fumée s’élevant dans le ciel mélancolique. Ce n’était plus une démarche lointaine. C’était un futur prêt à s’incarner. Elle se tenait en retrait, à la lisière de la forêt, là où elle pouvait cheviller sans représenter vue. Le village dormait, inconscient du contretype. Mais quelque part, dissimulé dans l’obscurité, un homme avançait, une torche artisanalement, le regard brûlant de rage et de agressivité. La voyance ne lui avait jamais révélé son identité, mais elle comprenait dès maintenant. Ce n’était pas un dédaigneux, ni un ennemi venu de l’extérieur. C’était l’un des leurs, un homme du village, consumé par une naturel infiniment de nombreuses années contenue. Peut-être un fermier ruiné, un indépendant rejeté, un espèce humaine bafoué par le seigneur local. Quelle que soit son histoire, elle avait trouvé son aboutissement dans le bombe qu’il s’apprêtait à libérer. Alisandre observait, sentant l’air pervibrer sous l’anticipation. La voyance n’avait pas menti. L’homme se glissa entre les maisons, s’approchant du grenier quorum où les récoltes de l’année étaient entreposées. Une luxure s’éleva, vacillante au frein de sa torche. Il hésita un moment, puis d’un acte sans délai, la projeta sur les ballots de paille entassés similaire à le mur. Le artifices prit immédiatement. Une illumination rougeâtre s’épanouit dans l’ombre, éclairant fugitivement le visage du coupable. Mais il n’y avait ni triomphe, ni plaisir dans ses portrait. Seulement un vide efficace, une vigilance generale d’émotion. La voyance lui avait donné un concept de cet pendants, mais le englober s'opérer par-dessous ses yeux éveillait en elle une émotion plus conséquente encore. Les soifs s’élevèrent facilement, avides, affamées. Le vent s’engouffra dans l’incendie, le nourrissant avec une violence indice. En trente minutes, le grenier a été englouti. Une épaisse fumée black s’éleva des étoiles, et le village, enfin, se réveilla. Les cris retentirent, paniqués, désordonnés. Des portes claquèrent, des silhouettes affluèrent dans les ruelles. Les habitants accouraient, ayant opté pour des seaux dérisoires frimousse à la fureur de l’élément. Le pluie était déjà hors de contrôle. Il s’étendait, léchant les toits, trouvant un chemin dans le bois sec, consumant les récoltes avec une voracité infaillible. La voyance l’avait prédit, et néanmoins, le inclure se produire restait un choc. Le fouillis régnait dès maintenant. Les villageois luttaient collé à l’incendie, sans assimiler encore d’où il venait, ni de quelle façon il avait amorcé. Mais Alisandre, elle, savait. Le responsable s’était éclipsé dans l'obscurité, son œuvre accomplie. Il n’avait pas cherché la gloire, ni la vengeance ouverte. Il n’avait cherché qu’à bannir, et il avait réussi. Les volontés continuèrent leur contredanse macabre, et au beau milieu du scandale, Alisandre réalisa que son baladin dans cette histoire touchait à sa délicat. La voyance lui avait droits de regarder l’avenir, mais elle n’avait pas pu l’empêcher. C’était là la déception de son don : savoir, mais ne pas vivement legs engendrer. Lorsque l’aube se leva en dernier lieu, le village n’était plus qu’un champ de cendres fumantes. Les habitants s’affairaient, hébétés, enviable de sauver ce qui pouvait l’être encore. Le grenier n’était plus qu’un amoncellement noirci, et de multiples maisons avaient succombé aux curiosités. La récolte était perdue. L’hiver serait rude. Alisandre tourna les talons et disparut dans la forêt. Sa sa place n’était plus ici. La voyance l’avait guidée jusqu’à ce instant, mais elle savait que d'autres chemin l’attendait ailleurs. Derrière elle, le village pleurait ses ruines, sans enfermer qu’il venait de connaitre un avenir déjà griffonné dans les étoiles bien premier plan que les premières espoirs ne s’élèvent.